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Gérard Wiehe Berény
Ecrire c'est vivre et peindre c'est aimer à nouveau
Association artistique A. N. A Productions / Connoisseur's Gallery Paris
84 pages dont 20 pages couleur, Format 15x21
oeuvres de : Carole Grimt, Pablo Poblète , Stéphane Marceau , Lucien Dante , Gravleur , Chris Talbot , Jacques Pierre Lefort , Cato Catoni , Luís Augusto Gallery , Nafir, Pitchen Sokolo , Saïd Gnoug , Toze Figueiredo , Jean-Pierre Bourgeois-Potage , Nicolas Trieste , Jean-claude Robert Pommery , Benoît Tantôt , Cacio Bereny
Textes de : Nash Betu Kapinga , Nicolas Saeys , Robert Notenboom , Thomas Ramain , Christophe Bregaint , Wilfried Salomé , Jacques Gourvennec , Jean-françois Joubert , Le dernier voyage de l’Albatorsius - Patrice Merelle , Cédric Robert Auteur - page pro , John Nash F. Agera , Pablo Poblète , Raynaldo Pierre Louis , Stéphane Marceau , Wilfried Pinel , Jonathan Deschamps , Dominique Gabriel Nourry , Jean-Fabien Auteur , Jean d'Ormesson , Jacques Pierre Lefort , Calo Brooklyn , Markus Gabriel , Cristian Ronsmans , Alain Bosquet , Syl , Phil Baltmer , Trommenschlager Franck , Paul-François Carnet-Pantiez Poitiers
10 € + frais d'envoi forfait 3 €

 

 

" Un très bel orage a fissuré le ciel " de Joesph Kacem est sous-titré par un " Autopsie d'un bouffon " C'est ce sous-titre qui m'a interpellé plus que l'ellipse poétique. Et très vite on comprend que le légiste bouffon n'est autre que l'auteur lui-même. Reste à savoir si lebouffon et le légiste lui-même ou le corps étendu sous la menace de ses bistouri et scalpel. La réponse seras assez facile à deviner. D'abord par le « style » Je mets volontairement ce style entre guillemets. Des guillemets en ronce barbellée pour un texte à haute tension ! Que le lecteur prenne garde : outre la torture, l' infection vous guette, la septicémie vous vous menace et les concertinas tranchants sont comme des lames de rasoir à l'insu de vos gorge nouées !


 

            Car en faite de style, si tant est qu'on parle de style littéraire avec ces catégories dans lesquels on se plait à enfermer toutes les facettes d'un écrit, ici il n'y a pas de style. Ce qui n'est en rien péjoratif. Bien au contraire. Six de toute évidence on est tantôt dans le récit, tantôt dans la poésie ( au sens de l'écrit ) voire le journal intime rapé ou râpeux, au choix , ou que sais-je encore, il n'y a pas de style littéraire car on est dans l' oralité d'une langue et sa singularité. Comme l'auteur gueule, hurle, même mezzo voce son texte ou cette apparence de texte, le lecteur gueule, hurler sa lecture !

De sorte que ce texte éminemment poétique qui exprime une quête de l'amour dont le chemin qui y conduit est bien plus important que l'objectif lui-même comme le dit Joseph Kacem , taoïste improvisé, s'appuie c'est tout le paradoxe sur... la haine. Paradoxe ? Pas tant que cela. Car on oublie ( le lecteur ) c'est plus confortable, que toute quête de l'amour comme quête de lumière, ne prends corps que si elle tient en compte que sans la haine, sans les ténèbres, ils ne peuvent exister.

Voilà pourquoi ce livre admirable écrit avec une plume trempé dans l'antre intestinale et échappe à tout romantisme pour mieux permettre au légiste d'étudier les moindres réactions de l'écorché. Celui qu'on trouve dans les écoles de médecine.Voilà pourquoi cette langue de ferraille et de bile mêlée jusqu'à la vomissures dans un égout à ciel ouvert, s'exprime à travers l'évocation des usines de et à merdre, des menstrues, de l'alcool pour oublierla haine de soi, l'un de l'autre, transfèrt inéluctable, et les bordels qui vont avec et l'envie in finie de dire : " Monsieur, madame, veuillez m'excuser d'être né ! » Le rêve crève en même temps qu'il naît. Plutôt qu'une adaptation scénique musicalement « classique » telle que celle nous l'a décrite l'auteur, une adaptation théâtrale, sous forme de sonate dramatique à 4 mouvements, me semble plus appropriée pour retracer sur la toile de nos angoisses, ravivée pcar ce livre d'une violence inouïe mais juste, l'anéantissement ou néantisation qui nous guette dès lors que la vie existe !

Question en suspens : le bouffon se demande comment continuer à faire l'idiot, ( au sens Dostoïevskien, celui qui voit au-delà en attendant la mort dont on a déjà reçu le coup fatal ? Peut-être faut-il trouver la réponse au sous-titre dans le titre « un très bel orage a fissuré le ciel ». Car en fissurant le ciel, dans son zigzag, l'orage (tempête sous un crâne ) Doit clarifier et indiquer le chemin à l'homme égaré . Et c'est l'inverse qui va se produire. Les racines du ciel chez Joseph Kacem cèdent de la place à l'arbre dont les racines plongent dans le caniveau terrestre. L'aventure est terminée avant que d'avoir commencé. Les dés pipés ou non était déjà jetés ! En même temps J. Kacem nous renvoie l'image de notre propre défaite derrière des masques en peau humaine dont nous la parons, dans un déni éternel !

 

 Cristian Ronsmans
 

 

 

Joseph Kacem
Un très bel orage a fissuré le ciel - Recueil
Autopsie d'un bouffon
Avant-propos de Calo Brooklyn
138 pages sur papier couché 135 g - Format 15x21
Illustration de Jacques Pierre Lefort
11 € + frais d'envoi forfait 3 €

Nouveautés 

Artscope®, Editions du Pont de l'Europe® sont des marques françaises enregistrées à l'INPI. L’Association Nouvelle Artistique et Audiovisuelle A.N.A. Productions et Gérard WIEHE BERENY sont seuls habilités à représenter les marques Artscope ® et Editions du Pont de l'Europe®. A.N.A Productions N°SIRET : 334 286 069 00029 APE 921C

L'auteur

 "Je cherche autres choses pour mon âme fatiguée, et..., par accident, j'ai croisé la poésie, elle m'accueille... Mais si je suis trop attentif au chaos du monde, je ne serai jamais heureux. Alors je crève mes yeux pour ne plus rien voir, la cire dans mes oreilles, je marche au bout de moi-même au seuil d'une autre lumière, juste cachée là à l'intérieur. "

 

Raynaldo Pierre Louis

 

 

Un Regard vers l'Orient – Poésie
Préfacé par Cristian Ronsmans
Entretien avec Raynaldo Pierre Louis par Calo Brooklyn
Jacques Pierre Lefort – Illustrations, 27 pages couleur
176 pages sur papier couché 135 g – Format 15x21
17 € + frais d'envoi forfait 4 €

Raynaldo Pierre Louis, pour mieux s’évader du ventre
ilien qui cloue au sol, entre vents et marées, entre ciel et terre, entre finitude et infinitude, est ce fou de mots qui veut voguer sur
l’océan de ses chimères, pour mieux les apprivoiser ou les vaincre, et décide de chevaucher Pégase.

Le battement des tempes rythme l’horloge du poète dans le silence de son cœur déchiré.

Il y a de l’orage dans l’air et pourtant…

Les éléments rompent leurs chaînes. Le Temps affronte l’Espace
sans que nul ne veuille courber l’échine.

Entre un Hector Hyppolite à la naïveté du sourcier et un Jean Michel Basquiat, éventré de feu sur les murs des cités de brique,
entre ces deux balises flamboyantes, Raynaldo Pierre Louis renoue avec « cette moisson d’images des Saint-Soleil » comme
disait Malraux, en s’écartant définitivement de toute candeur et de
toute innocence.

Si Pierre Louis quitte les rives de la naïveté de ces magnifiques
peintres haïtiens que rappelle Jean-Marie Drot dans son ouvrage de référence « Voyage au pays des naïfs », c’est pour mieux affronter cette brisure d’une réalité qui colle à la peau comme une flétrissure et pour mieux se dévoiler au Réel.

Dans le feu poétique du poète photophore, toutes les valeurs
ancestrales seront abordées à contre-courant et sabordées afin de permettre au navire d’éviter le naufrage, poussé par le vent,
pneuma de la vie et d’éclater enfin dans la rade ensoleillée des
espérances que seules connaissent les pipirites au lever du jour.
Pierre Louis est là, debout, inondé de lumière face à ce soleil
levant, son corps meurtri mais son âme aiguisée, acérée, prêt à
fendre et l’horizon, et les astres, et les mille et un soleil qui
tournoient dans sa tête en un cri ultime comme une incantation
qu’il nous adressera sans cesse : « Je plante toujours quelque
chose !? »

 

© Cristian Ronsmans,
Conférencier,
Bruxelles, 01-2015

 

 

 

 

Sur les ailes de Pégase – Poésie
Préfacé par Cristian Ronsmans
Chris Talbot – Illustrations, 24 pages couleur
Texte de Jean d'Ormesson de l'Académie Française à propos de Chris Talbot
Entretien avec Raynaldo Pierre Louis par Calo Brooklyn
100 pages sur papier couché 135 g -⁠ Format 15x21
17 € + frais d'envoi forfait 3 €

 

 

L'auteur

 

" Souvenirs tenus " est le produit d'une confrontation à la vie et à la beauté au degré le plus haut que le poète puisse atteindre dans un élan de délivrance d'une asphyxie intérieure.

Par-delà le temps, et par un effort continu dans son travail Cédric Robert nous entraîne dans ce questionnement sur nous-mêmes, sur la vie, le rapport à l'autre et à la beauté d'être. Il contribue ainsi par son engagement total sur le front de l'art à combattre toutes les novicitésqui entravent nos respiration.

Le basculement se situe là,en une transformation de soi ; réapprendre à voir l'aube dans sa richesse entière et non à travers une pensées captatrice de son image

 

Un  livre de lumière.

 

Extrat de l'avant propos par Calo Brooklyn

 

 

Cédric Robert
Souvenirs Tenus – Poésie
160 pages sur papier bouffant 90 g – Format 15x21
avant-⁠propos de Calo Brooklyn
10 € + frais d'envoi forfait 4 €

 

 

 

 

 

Cédric Robertest né en 1986, de nationalité belge et diplomé d'un master de l'Institut des Arts de Diffusion de Louvain-la-Neuve.

Sa thèse ayant pour thème, " La contre-culture cinématographique, l'avant garde et ses procédés pour réinventer le language cinématographique " lui a valu L'obtention d'une Grande Distinction. Auteur, poète, réalisateur, metteur en scène, il a réalisé plusieurs documentaires et films dont le court-métrage "SINAN " sélectionner par plusieurs festivals internationaux et qui a été primé à Bruxelles et à Porto.

 

 

 

 

L'auteur

 

« Cet essai didactique empli de bon sens ne sauvera pas le monde, ce n’est pas sa prétention ; mais s’il peut servir des hommes et des femmes dignes, en quête de sens dans un univers sans attache, alors ces mots n’auront pas été écrits en vain… Puisse cet ouvrage être un voyage initiatique qui vous conduira à la découverte d’un autre savoir. Puisse-t-il être, pour chacun, l’esquisse d’une nouvelle façon de vivre. »

 

Franck Trommenschlage

 

"Je n'est pas un autre":  Un livre fracassant ! Qui relève avec exactitude les maux de notre siècle. Le tout mêlant poésie et sciences molles, un essai bref mais brillant, en faveur de l'humain face aux manipulateurs de l'esprit... bravo. !

 

 Raymond Gautier

 

" Je viens de terminer votre livre , une belle lecture ! Votre essai est très fort , très beau , un véritable hymne à la vie - une œuvre de poète. On entend un appel à sortir de cette "ombre" que vous décrivez si bien, par ces exemples de souffrance , une sorte de" déshumanisation " orchestrée à différents stades. Un appel à retrouver le chemin de la lumière par cette "beauté intérieure" , ce "je" à laquelle vous aspirez et que vous nous démontrez possible , là aussi par vos différentes références. Cette lumière ignorée, ou cachée, qui ne demande pour beaucoup à rayonner dans ce monde, pour le sauver et pour reprendre vos mots " réenchanter le monde" . Merci beaucoup. "

 

Marie-José Mouette Coulon

 

 

Franck Trommenschlager
« Je » n'est pas un autre
Ou comment reconquérir
sa beauté intérieure – Philosophie, Sciences sociales
178 pages sur papier bouffant 90 g – Format poche
7 € + frais d'envoi forfait 3 €

  L'auteur

Franck Trommenschalger est un psychanalyste et psychosociologique. Membre du groupe de " Réfléxions Arts-Industrialis ", il a confondé  en 2012 avec un ensemble de médecins et intervenants, l' Université populaire de Luxeuil les Bains/Saint Sauveur.

Il signe ici, à travers cet essai, son premier ouvrage.

L’auteur John Nash F Agera nous transporte dans un environnement où l’humain est décharné de toute valeur symbolique, du moins au regard du grand public. Les personnages de la pièce, réifiés et en apparence rendus vils [à l’image de cette société post-moderne devenue folle], révèlent la prostitution du corps comme chaque jour nous nous prostituons nous-même, parfois inconsciemment, par l’esprit.

L’auteur, non sans l’audace et le goût du risque, s’emploie à démontrer, malgré l’obscénité et la laideur trompeuse du texte [dont le contenu est avant tout révélateur d’un désenchantement consumériste majeur], que l’homme a toujours en lui ce désir de cultiver la beauté et cette envie de favoriser son émergence… même lorsque le désespoir et la ruine menacent !

La plupart des lecteurs seraient tentés de croire que l’auteur livre là ses fantasmes les plus obscurs sous le boisseau de l’anonymat… Il n’en est rien… car tout comme les écrits du poète Dimitri Dimitriadis, cette œuvre insolite est un effet de miroir avant-gardiste mettant en évidence les symptômes d’un monde étrangement prophétique.

Mieux vaut mourir que de perdre espoir ; L’amour est plus fort que tout : Voilà les messages que je retiens de cet ouvrage… même dans la boue apparente d’une société désaffectée, ou le priapisme reste la seule drogue pour se sentir exister ! »

 

Franck Trommenschlager Psychanalyste - Psychosociologue

http://www.psy-luxeuil.fr/

 

Un écrit dont on ne se lasse pas. Cette pièce, je l’ai vécue, non lue !

 

Lyuchka Phoénix

 

Cette pièce m'a vraiment déconcerté. C'est nous-mêmes qui sommes pris à partie par un effet miroir des mots. Finalement, il s'agit bien d'un chef d'oeuvre acéré, nous dépouillant de nos habits de pensée .Nous nous trouvons renvoyés à notre propre illusion d'exister dans les théâtres respectifs de nous-mêmes. Très fort !

 

Alberto Parra

 

John Nash F.  Agera
Epopée de la Nuit, première heure – Théâtre
114 pages sur papier offset 90 g – Format poche
Avant-⁠propos de Calo Brooklyn
Illustrations en noir par Toze Figueiredo
6 € + frais d'envoi forfait 3 €

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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